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Vous faites le pari suivant : vous demandez à un ami de commander un verre, de cognac par exemple,
et de le poser sur un billet de 50 FF, qu'il aura lui-même sorti de sa poche.
Vous lui dites que vous pariez que vous allez prendre le billet, sans même toucher au verre.
- Le pari étant ouvert, vous prenez le verre et vous le buvez.
A ce moment là, votre ami, indigné va vous dire que vous avez touché au verre et que vous avez donc perdu le pari.
- Vous lui répondez :"Oui, c'est vrai, j'ai perdu, tant pis".
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Monsieur le Ministre de la Défense Nationale, Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui
suit, et de solliciter de votre bienveillance l'appui nécessaire pour
obtenir une démobilisation rapide. Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans,
laquelle a une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille. A cette heure, mon père est donc devenu mon
gendre, puisqu'il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue
ma belle-mère, puisqu'elle est la femme de mon père. Ma femme et moi avons eu en Janvier dernier un fils. Cet enfant est donc
devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père. En
conséquence, mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère. Mon fils
est donc mon oncle.
La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère
puisqu'il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu'il est le fils
de la fille de ma femme.
Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d'une
personne est le père de celle-ci, il s'avère que je suis le père de ma
femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père. De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l'obligeance de bien vouloir me
renvoyer dans mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le
petit-fils soient mobilisés en même temps. Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le
Ministre, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Paul HOCHO -
Toto se promène dans la rue avec son papa. Ils passent devant une maison bizarre, avec des fenêtres aux tentures fermées, des néons dans l'entrée, etc...
Toto: "Papa, c'est quoi la maison, la ? Hein papa, c'est quoi ?"
Le papa, ennuyé: "Ce n'est rien, ce n'est pas pour les petits garçons sages. Tu sauras plus tard ce que c'est. Viens, on continue la promenade".
Revenu à la maison, Toto ne peut résister à la curiosité. Profitant d'un manque d'attention de son papa, il prend un billet de 1.000 francs dans le portefeuille familial et sort discrètement. Quelques minutes plus tard, il est dans le hall de la grande maison avec des tentures et des néons colorés. Une dame en petite tenue se tient derrière un comptoir.
Toto: "BONJOUR Madame, excusez-moi de vous déranger: Voici 1.000 francs, et j'en voudrais pour mon argent".
La dame, ennuyée, demande à Toto de patienter quelques instants. Elle se rend dans une pièce à l'arrière où se trouve le "patron".
La dame: "Dis, Giuseppe, il y a un gamin à l'entrée; il m'a donné 1 000 francs et il m'a dit qu'il en voulait pour son argent. Qu'est-ce que je fais ?"
Giuseppe: "Il est sans doute victime d'une blague de copains plus âgés... Tu te souviens des crêpes qu'on a faites avant-hier. Il y en a encore quelques-unes au frigo. Réchauffe-les en vitesse, donne-les lui et rends-lui 950 francs. Il sera content et il partira".
La dame s'exécute, amusée...
Revenu à la maison, Toto tombe sur un papa furieux. Il le cherche partout depuis une heure et il s'est aperçu du vol dans son portefeuille.
La papa: "Toto, où étais-tu ?"
Toto: "J'étais dans la grande maison avec des tentures et des lampes de toutes les couleurs".
La papa, très inquiet et craignant le pire pour l'innocence du fiston :
"Et qu'est-ce que tu as fait dans cette maison ?"
Toto: "Papa, c'était fantastique ! Quel service ! J'ai donné 1.000 francs, on m'a rendu 950 francs. J'en ai eu 8, et il y en a 4 qui étaient tellement chaudes que j'ai du les finir sur le trottoir!"
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C'est une petite vieille qui habite seule dans une vieille cabane avec son chat ; un jour, alors qu'elle fait du jardinage, elle voit une grenouille prise dans un piège a souris. Elle qui d'habitude déteste les animaux (a part son chat) la prend, la soigne et lui donne quelque chose a boire et a manger.
C'est alors que la grenouille se transforme en fée et lui offre de réaliser trois de ses souhaits.
La petite vieille réfléchit et dit:
- J'aimerais que ma cabane soit un château
- Comme deuxième voeu, j'aimerais retrouver la jeunesse et la fraîcheur de mes vingt ans
- Et pour finir, j'aimerais que mon chat se transforme en Prince charmant...
Sitôt dit, sitôt fait. C'est alors que le chat transforme en Prince prend la parole et lui dit: "C'est maintenant que tu vas regretter de m'avoir fait couper !"
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Un gars veut acheter un perroquet. Il se rend chez le marchand de perroquets et demande au vendeur:
- Bonjour, je voudrais un perroquet.
- Nous en avons trois. Un a 1000 F, un a 2000 F, et un autre a 10000 F.
Le vendeur reprend:
- Celui a mille francs parle le français et l'anglais.
- Excellent. Et celui a 2000 F?
- Oh celui la, il parle le français, l'anglais, le russe, le japonais, le souahéli et l'allemand.
- Et celui a 10000 F, il parle le papou, l'italien, le latin et le grec ancien en plus non?
- Non. En fait il ne parle pas du tout.
- Ah bon! Mais pourquoi il coûte 10000 F alors ?
- Parce que les deux autres perroquets l'appellent patron.
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3 chiens sont chez le vétérinaire: on a un danois, un berger allemand et un labrador.
Le labrador demande au berger allemand ce qu'il vient faire chez le toubib.
Woff, réplique le berger. Je viens pour l'euthanasie. Des enfants jouaient dans la cour, j'ai voulu jouer avec eux et j'ai mordu une petite fille. Mes maîtres ont décidé que je représentais un danger pour les enfants, alors..... et toi , demande le berger au labrador ?
Moi aussi je viens ici pour mon dernier souffle, ça va être la piqûre suivi du ciel, je l'espère. Je dois ça au facteur. Quand il entrait dans la cour, il savait que j'étais attaché et il en profitait pour me provoquer, il me lançait des roches, faisait semblant de bondir vers moi, enfin tu vois ce que je veux dire. Mais ce matin je n'étais pas attaché et il ne le savait pas. Je lui ai sauté dessus et je lui ai fait la passe des "quatre fers en l'air", alors mes maîtres n'ont pas cru mon histoire et c'est la fin pour moi. Et toi le danois ??
Boff !! Moi j'étais allongé sur le tapis de la cuisine avec un rayon de soleil qui me réchauffait le poil. Ma maîtresse faisait la vaisselle. Elle était toute nue. Tout à coup elle échappe une fourchette. Lorsqu'elle s'est penchée pour la ramasser, vu que je ne suis pas fait en bois, je l'ai "sautée". Oui les gars, j'ai sauté ma maîtresse.
Alors toi aussi tu es ici pour la piqûre ? demande le labrador.
Non, dit le danois. Je suis ici pour me faire dégriffer !!!!!!
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C'est un paysan de sa cambrousse natale qui a perdu (pour la n-ieme fois) son chien. A sa femme :
- Dis l'ma'l'ie, l' chien a enco'l dispa'l'u.
- Vas-y voir un peu a la SPA (Société de Protection des Animaux).
Le bougre s'en va donc a la SPA pour récupérer son chien :
- B'jour monsieur, v'la. J'ai pe'l'du mon chien v'la deux jou'l et comme y revenait pas, je me d'mandais si vous pou'l'iez pas m'aider ?
- Le chien est-il tatoué ?
- Bien sur qu'il est t'a moué.
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Un citadin en visite à la campagne discute avec un habitant.
L'habitant -> Dites.. vous savez que j'ai un cochon qui sait compter ?
Citadin -> NON... pas possible !
L'habitant va chercher son cochon, et lui dit: "Tu vas montrer au monsieur ce que tu sais faire".
L'habitant -> 5 + 4
Le cochon -> Gneuf gneuf gneuf gneuf
L'habitant -> 6 + 3
Le cochon -> Gneuf gneuf gneuf gneuf
L'habitant -> 4 + 4
Le cochon -> gneuf gneuf..
Là le fermier se fâche et donne un coup de pied au derrière du cochon, tout en criant 4 + 4 ?
Le cochon -> HUiiiiiiiiit.. huiiiiiiit.. huiiiiit..
L'habitant -> j'vous l'avait dit qu'il savait compter !